Traduction technique : type de contenus et besoins

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Depuis de nombreuses années, l’équipe Sotratech prend en charge des traductions techniques. Nous renforçons et consolidons chaque jour un peu plus notre savoir-faire dans ce domaine. Nos compétences résident dans l’organisation de projets complexes autant que dans la maîtrise de la traduction pour les secteurs techniques ou de spécialités émergentes. Les innovations naissent à un rythme toujours plus soutenu. Les technologies évoluent extrêmement rapidement dans de nombreux secteurs (pensons par exemple à l’intelligence artificielle et à ses différentes applications, aux technologies et systèmes embarqués, à la génomique, à la réalité virtuelle, à la robotique et tant d’autres). Nous suivons bien sûr toutes ces évolutions technologiques. Pour traduire les documents techniques en respectant les usages et exigences terminologiques du secteur considéré, nos traducteurs et chefs de projet, déjà experts du technique, effectuent des recherches poussées, élaborent et gèrent des glossaires, des bases terminologiques et des mémoires de traduction dédiées.

Typologie des contenus techniques traduits

En prenant du recul sur ces dernières années au service de nos clients, et en analysant les types de contenus que nous confient nos clients les plus “technophiles”, nous avons identifié 4 grandes « familles » de contenus :

  1. Des contenus relatifs à l’activité et à l’information commerciale et marketing d’une société donnée, destinés à ses clients. Ce qui nous amène à traduire des brochures produits, des contrats, des emails transactionnels, des réponses aux appels d’offres à l’échelle internationale, …
  2. Des informations techniques destinées aux clients : des fiches produits, des contenus produits par les équipes support client, des instructions d’utilisation, des foires aux questions, des formations et modules de e-learning.
  3. Des informations internes ou échangées avec les prestataires techniques et autres parties prenantes. Nous pensons ici aux cahiers des charges techniques et fonctionnels, aux spécifications techniques, aux guides de conception, etc.
  4. Des informations strictement réservées à une diffusion interne et potentiellement confidentielles : rapports techniques, comptes-rendus de réunions, brevets, rapports de veille concurrentielle, manuel de procédures techniques, etc.

Une dernière catégorie (5) pourrait venir s’ajouter à la liste précédente. Dans le cas de pure players web ou de sociétés ayant fait d’Internet un canal actif d’acquisition ou de fidélisation de leurs clients, nous pourrions ajouter “tout ce qui relève des contenus diffusés en ligne ou générés par la communauté ou les clients (UGC)” nourrissant les stratégies de marketing online : articles de blog, vidéos, commentaires et avis des clients, tweet, emails, newsletters, etc.

Traduction technique : des besoins précis justifiant une gestion de projet adaptée

Il est clair que suivant les catégories, les besoins diffèrent :

  • Une très grande réactivité pour la catégorie 5, pour la traduction des contenus publiés en ligne du fait de la nature même d’Internet et des réseaux sociaux, et un planning plus souple pour la catégorie 2, dont les contenus peuvent être anticipés.
  • Une précision extrême pour la traduction des documents de la catégorie 3 qui engagent les protagonistes et déterminent les performances à venir des produits et services qui seront conçus.
  • Pour la catégorie 2, le recours à des outils de TAO et aux mémoires de traduction associées constitue un avantage supplémentaire au vu du volume et de la fréquence des mises à jour de ces documents. Ces outils offrent en outre aux traducteurs et aux clients une plus grande efficacité et une plus grande maîtrise des coûts, ainsi que la garantie d’une cohérence terminologique entre les différentes versions et mises à jour d’un même document.
  • Le recours à la traduction automatique avec ou sans post-édition s’avère également utile pour certains contenus de la catégorie 5 comme les commentaires laissés par les internautes. Le volume potentiellement généré par les utilisateurs ne peut pas être traité par des traducteurs humains (ni en termes de réactivité ni en termes de budget).

C’est ici l’une des nombreuses sources de satisfaction que nous puisons dans notre métier. Pouvoir apporter des conseils à nos clients en leur permettant de faire les bons choix d’organisation et de production pour la traduction de leurs contenus techniques. Et en déterminant avec eux toutes les solutions leur permettant d’optimiser leur investissement.

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